Date :
1925-2008
Description physique :
30,72 ml.
Organisme responsable
Bibliothèque universitaire d'Angers
Centre des Archives du féminisme
5, rue Le Nôtre
49045 ANGERS Cedex
Tél. 02 44 68 14
bu.univ-angers.fr/contact
Site web de la bibliothèque
Description :
1re partie :
Ce fonds est susceptible de renseigner sur le fonctionnement de l’administration et de la gestion de l’association. L’UFCS s’efforce de donner à ses adhérentes la connaissance des grands problèmes sociaux,
la compréhension des différents milieux, la possibilité de juger les réalités sociales qui les entourent.
L’Union féminine donne cette formation à ses adhérentes, au moyen de réunions, cercles, commissions de travail, publications… Chaque année, l’Union féminine, dans un but particulier d’activité sociale, entreprend un travail sur l’opinion. Préparé par des enquêtes, ce travail se poursuit par des conférences, des articles dans la presse, des séances d’étude au cours de son congrès annuel, des publications sur son sujet, des meetings, etc.
L’association entretient des relations régulières avec différents organismes, qu’ils soient nationaux ou internationaux. Elle participe avec eux à l’organisation de congrès ou de journées d’études qui correspondent à des thèmes ou projets communs.
2e-7e parties :
Cinq fonds sont présents ici, les archives déposées par l'UFCS provenant en réalité, après examen, de cinq structures différentes (c'est-à-dire juridiquement indépendantes) : l'UFCS à proprement parler, l'Amicale UFCS, l'Association des amis de l'UFCS, la Ligue de la mère au foyer et le Mouvement mondial des mères. La présence des archives de ces petites associations parmi les documents de l'UFCS n'est toutefois pas un hasard : toutes émanent en effet de l'UFCS, ont leurs sièges sociaux dans le même immeuble, et comptent des personnalités de l'UFCS parmi leurs membres.
Pour chaque association, le classement reste le même : d'une part, les archives propres au fonctionnement de l'association (administration et comptabilité, notamment) et d'autre part les archives relatant ses activités. Cependant, les associations autres que l'UFCS ayant eu une durée de vie relativement courte, le volume des fonds reste peu important (environ une boîte d'archives chacun).
Classement :
Le plan de classement de la 1re partie adopté est le suivant :
administration et organisation,
activités,
relations et
documentation.
2e-7e parties :
Un travail préliminaire au classement avait déjà été réalisé avant le début de ce travail en mars 2012. En effet, un récolement (inventaire carton après carton permettant une prise de connaissance succincte des documents présents) a été effectué de 2008 à 2010, comme exercice, par des élèves de master 1 « Histoire et métiers des archives ». Au total, ce sont quinze élèves qui ont effectué ce travail de récolement sur 388 boîtes. Toutefois, douze boîtes n’avaient pas été récolées et ont donc été inventoriées au début de ce stage en mars 2012.
Un plan de classement a ensuite été élaboré pour le fonds : pour cela, j'ai pu avoir recours au livre de Françoise Hildesheimer sur le traitement des archives privées. Le plan de classement élaboré pour l’UFCS est inspiré du plan type proposé dans ce livre et a été adapté, bien évidemment, à la complexité de l’organisation de cette association.
Le plan de classement respecte ici le découpage-type des fonds d’associations, avec une première partie consacrée au fonctionnement administratif de l’UFCS, et une deuxième contenant les documents propres à l’exercice de ses activités. Dans la première partie, les documents présentant les différents services de l’UFCS sont présentés en s’inspirant des organigrammes trouvés dans le fonds. Dans la deuxième grande partie, consacrée aux activités, il a été décidé de présenter les documents en allant du général au particulier ; ainsi, se trouvent en premier les documents relatifs aux relations et représentations extérieures de l’UFCS. Viennent ensuite toutes les grandes manifestations organisées par l’association : congrès, journées, rencontres, etc. Enfin, sont classés dans la dernière sous-partie tous les documents relevant des différents secteurs d’activité de l’UFCS.
Par la suite, les analyses (présentes dans le corps du répertoire) ainsi que les éliminations ont pu être entreprises. La rédaction des analyses a été faite selon le schéma le plus classique. Toutefois, cette règle de rédaction a été adaptée à plusieurs reprises afin d’éviter les répétitions (c’est le cas, notamment, pour la comptabilité).
Enfin, une fois les documents matériellement rangés dans les boîtes d'archives, une cote définitive leur a été apposée. La cote des documents est décomposée en trois parties : le nombre 16 signifiant qu’il s’agit du seizième fonds classé ; les lettres « AF » correspondant à « Archives du Féminisme » ; enfin, les trois derniers chiffres correspondent au numéro de l’article. Cette cotation prend la suite du premier classement de 2006 ; c’est pour cette raison que la cote du premier article de cet inventaire est le 16 AF 499.
Producteur du fonds ou collectionneur :
Union féminine civique et sociale
Biographie ou Histoire :
Liste des dirigeantes de l'UFCS
1925 – 1940 : Andrée BUTILLARD (en tant que secrétaire générale)
1940 – 1956 : Andrée BUTILLARD (en tant que présidente)
1956 – 1965 : Marie MARTINIE-DUBOUSQUET
1965 – 1971 : Geneviève DELACHENAL
1971 – 1974 : Guillemette GERVAIS-BLONDEL
1974 – 1977 : Chantal DECROIX
1977 – 1980 : Monique SAUNOIS
1980 – 1983 : Marie-Odile KLIPFEL
1983 – 1986 : Anne-Marie DURAND
1986 – 1990 : Armelle de ROCHAMBAUD
1990 – 1995 : Nicole DROMARD
1995 – 2000 : Sylvie ULRICH
2000 – 2010 : Chantal JANNET
Biographie ou Histoire :
1re partie :
L'Union féminine civique et sociale est une association loi 1901 créée en 1925, par une militante du catholicisme social, Andrée Butillard (1881-1955) (Annexe 1). Elle a depuis 20 ans une expérience sociale et syndicale lorsqu’elle crée l’UFCS. Sa rencontre avec Mlle Rochebillard en 1901 est déterminante. Andrée Butillard est conquise par l’idée de créer une élite féminine capable de jouer un rôle économique et social.
Lorsqu’elle crée l’UFCS, la cause de l’émancipation de la femme est déjà défendue par des mouvements féministes laïcs. Cependant, les chrétiennes restent en dehors de ce combat, et c’est Andrée Butillard qui va les inciter à y participer. Elle lance ainsi la branche féminine du catholicisme social.
Le 6 mars 1925 est fondée l’UFCS. Il s’agit d’une association loi 1901. Elle a été reconnue d'utilité publique en 1947, agréée éducation populaire en 1959, organisation de consommateurs en 1961, organisme de formation en 1976 et organisme de protection de l'environnement en 1978.
L’association se développe partout en France par l’implantation de bureaux et d’équipes locales. Ces équipes sont chargées d’une action régionale notamment en ce qui concerne la formation (annexe 4). On trouve en effet des équipes civique, urbanisme ou encore consommation qui informent les femmes sur des sujets d’actualité. L’UFCS anime également un bureau en Algérie jusqu’à la décolonisation. Elle entretient des relations avec de nombreux organismes ou associations (voir table des sigles). Par ailleurs, l’UFCS a des relations privilégiées avec des associations menant des combats similaires aux siens, par exemple “La Ligue de la mère au foyer”.
Depuis la déconfessionnalisation survenue dans les années 1970, l’UFCS se présente comme indépendante de tout parti politique et désire s’adresser à toutes les femmes sans distinction de race ou de religion (annexe 5).
Tout au long du XXe siècle, elle a participée à de grands débats et menée de nombreuses actions. Parmi ses derniers engagements, on peut citer son suivi lors de l’application de la loi sur la parité dans les instances élues (1990-2002), la formation des candidates aux élections municipales (2000)…
Le mouvement a bien entendu évolué au fil des décennies mais son projet est resté le même : “faire évoluer les mentalités en y insufflant un esprit civique qui, appliqué aux domaines de la consommation, de la citoyenneté ou du travail, contribue à la construction d'une société plus humaine, où chacun a sa chance”.
Le but d’Andrée Butillard a été atteint. En effet, elle a réussi a créer un mouvement qui s’attache à la fois à défendre les droits de la femme, à travailler en faveur de l’amélioration des conditions de vie pour tous dans la famille, la vie professionnelle et la cité.
L’UFCS a publié récemment un ouvrage retraçant son histoire, grâce aux travaux “des amis de l’UFCS”, association composée des anciennes adhérentes qui a réuni des témoignages sur leur rôle et leurs actions.
2e-7e parties :
L’UFCS, par le grand nombre d’activités qu’elle a exercées durant plus de 85 ans, a accumulé un volume important d’archives (le fonds UFCS est d’ailleurs l’un des fonds les plus importants conservés au CAF). D’après les travaux de recherches effectués sur l’histoire de l’UFCS, il n’apparaît pas que les archives aient été « séparées » entre plusieurs lieux. En revanche, elles ont été régulièrement déménagées. En effet, les archives étaient conservées au siège social de l’association à Paris, et ce dernier a changé à deux reprises : d’abord situé au 25 rue de Valois jusqu’en 1951 (Paris 1er), il s’installe au 37 rue de Valois et y reste jusqu’en 1968, avant de rejoindre le 6, rue Béranger (Paris 3e). Qui plus est, il ne faut pas oublier le déménagement (dans l’urgence) de Paris à Lyon qui a eu lieu en 1940 pour une durée de deux ans. Dans de telles conditions, il peut sembler tout à fait plausible que des documents aient pu être égarés, ou éliminés afin d’obtenir, par exemple, un gain de place.
Selon Chantal Jannet, ancienne présidente de l’UFCS (2000-2010), le stockage des archives avait lieu dans des endroits très divers du siège social : bureaux, couloirs, mais également greniers, caves et autres remises. Il n’y avait pas de membre du personnel (salarié ou bénévole) affecté à la conservation des archives ; aucun classement n’a donc été mis au point.
Ces conditions de conservation ont-elles pour autant eu un impact au niveau de l’état des documents ? Après une observation détaillée du fonds, nous pouvons constater qu’aucun cas de forte dégradation ou de contamination n’a été constaté, que ce soit pour les documents papier, les documents iconographiques, ou encore les documents audiovisuels. Nous pouvons donc penser que les archives de l’UFCS, quel que soit l’endroit où elles ont pu se trouver, étaient conservées dans des conditions relativement bonnes. Qui plus est, ces archives ont pu être exploitables telles qu’elles puisqu’à partir des années 1980, des travaux de recherche ont été menés à partir de ces documents.
Quelques remarques peuvent tout de même être émises :
À plusieurs reprises, des lacunes ont été constatées dans les documents datant des années 1980 ; Bien que les archives présentes ici permettent d’avoir une vue d’ensemble de l’organisation et des activités de l’UFCS, un certain nombre de documents « fondateurs » n’existent dans le fonds qu’en copie et non sous leur forme originale (c’est le cas pour les statuts par exemple) ; Ce fonds est un « vrac » : il n’y avait pas de cohérence entre les boîtes, ni à l’intérieur des boîtes. L’ordre originel des documents a donc du être, le plus souvent, reconstitué. De plus, de très nombreux doublons étaient présents, ajoutant un peu plus à l’impression générale de désordre. Cette situation est d’ailleurs mentionnée par Thérèse Doneaud dans son mémoire sur l’UFCS datant de 1991 : « faute de temps et d’espace disponible, #o#les archives#f# sont stockées dans un relatif désordre ».
Provenance :
1re partie :
Les archives étaient conservées au siège social à Paris (25 rue de Valois jusqu’en 1951 ; puis, 37 rue de Valois jusqu’en 1968 ; et enfin, 6, rue Béranger), avant d’être transférées au Centre des archives du féminisme.
2e-7e parties :
Concernant l’historique de conservation postérieur au dépôt au Centre des archives du féminisme, il convient de préciser que le fonds entra en plusieurs fois au CAF, entre 2004 et 2010. La première entrée, datant de 2004, a été classée presque deux ans plus tard, en janvier 2006. Elle se trouve donc conservée, depuis, dans la grande réserve de la bibliothèque universitaire d’Angers avec un nouveau conditionnement (nouvelles boîtes, chemises et sous-chemises).
Les autres dépôts sont, eux, restés depuis leur dépôt dans leurs conditionnements d’origine (boîtes d’archives non neutres, contenants en bois ou en matière plastique pour les documents audiovisuels), et ont été stockés dans deux magasins de la bibliothèque universitaire d’Angers. Toutefois, il convient également de préciser qu’une petite partie de ces autres dépôts, faisant alors l’objet d’un exercice pour des élèves de master 1 « Histoire et métiers des archives » de l’université d’Angers, a été « pré-classée » et reconditionnée (avec des chemises et sous-chemises au pH neutre) fin 2010.
Modalités d'entrée dans la collection :
Le fonds de l’UFCS a fait l’objet de cinq entrées, effectuées dans l’ordre suivant :
Première entrée en octobre 2004 (15 mètres linéaires, classés en 2006)
Deuxième entrée le 15 juin 2006 (2,5 mètres linéaires)
Troisième entrée le 20 avril 2007 (5 mètres linéaires)
Quatrième entrée le 30 janvier 2008 (17,5 mètres linéaires)
Cinquième entrée le 15 juin 2010 (métrage linéaire inconnu)
Chaque entrée a nécessité la signature de deux contrats. Le premier contrat est signé entre l’UFCS et l’association « Archives du féminisme ». Ce contrat a d’abord été, en septembre 2004, un contrat de dépôt. Il est devenu un contrat de don à partir de septembre 2008. Le deuxième contrat est signé entre l’association « Archives du féminisme » et l’université d’Angers. Il s’agit à chaque fois d’un contrat de dépôt de l’association à la bibliothèque universitaire d’Angers dans le cadre du Centre des archives du féminisme.
Accroissements
:
1re partie :
L’association étant toujours en activité, le fonds est donc susceptible de s’accroître.
2e-7e parties :
Les associations présentes dans ce répertoire ayant été dissoutes, ces fonds sont clos. Toutefois, ils sont encore susceptibles de s’accroître, puisqu’un dernier dépôt a été projeté par Mme Chantal Jannet, dernière présidente de l’UFCS.
Caractéristiques matérielles et contraintes techniques
:
On trouve majoritairement des documents dactylographiés mais aussi quelques documents manuscrits, ainsi que des cassettes audio, des 78 tours et des diapositives.
Conditions d'accès :
Archives privées
L’association n’ayant pas donné d’information précise sur ce sujet, les documents sont donc communicables sans délai à la seule exception des documents cotés 16 AF 703 et 16 AF 769. Un délai de communicabilité de 75 ans a été posé pour le premier article en tant que documents produits par différentes juridictions (minutes de greffe). Le second contient des documents relatifs à divers cas de litiges entre particuliers et sociétés, désignés nominativement ; un délai de communicabilité de 50 ans pour protection de la vie privé a donc été posé.
Citer sous la forme : Fonds Union féminine civique et sociale, 16 AF. Centre des archives du féminisme. Bibliothèque universitaire d'Angers.
Documents en relation :
2 AF – Fonds Conseil national des femmes françaises (CNFF) : 2 AF 113 et 2 AF 148
8 AF – Fonds Luce SIRKIS : 8 AF 26
18 AF – Fonds Agnès PLANCHAIS : 18 AF 1-24, 18 AF 25-182, 18 AF 183-184, 18 AF 185-206
20 AF – Fonds Marcelle Devaud : 20 AF 228
21 AF – Fonds Coordination française pour le lobby européen des femmes (CLEF) : 21 AF 1-11, 21 AF 39-49
R 119 001 – Témoignage de Mme Chantal Jannet, dernière présidente de l’UFCS, recueilli le 3 mai 2012 par Agnès Wojciechowski
Documents en relation :
Archives départementales d’Ille-et-Vilaine
: 508 W 146 Fonds du cabinet de la préfecture, 1946-1973
Archives départementales de la Somme : 33 J 1-38 Archives de l'Union féminine civique et sociale, 1963-1992
Bibliographie :
Baudouin (Eve), Comment envisager le retour de la mère au foyer. Mémoire couronné par l’académie d’éducation et d’entraide sociale, Paris, Spes, 1933.
Baudouin (Eve), Le Congrès de l’Union féminine civique et sociale, (extrait de la Vie Catholique du 14 mars 1931.
Butillard, Danel, Baudouin, Brunhes, Gaulet, Le Travail de la mère hors de son foyer et sa répercussion sur la natalité, Paris, Mariage et famille, 1933.
Mornand (Germaine), La Vie et la mort de Daisy Georges-Martin, martyre de la Résistance, Paris, Spes, 1946.
La Famille dans la Vie Sociale : petit guide pratique de la législation familiale, Paris, Spes, 1937.
Birotheau-Poussy (Anne-Marie), Approche d’un mouvement féminin : L’Union féminine civique et sociale, 1925-1976, Nantes, 1977.
Doneaud (Thérèse), 50 ans de la vie d'un mouvement de femmes : l'Union féminine civique et sociale in Éléments pour l'histoire de l'Édation populaire, documents de l’INEP, n° XXI, 1976.
Doneaud (Thérèse), Les Femmes agissent, le monde change : histoire inédite de l’UFCS, éd. du Cerf, Paris, 2005.
Rollet (Henri), Andrée Butillard et le féminisme chrétien, Paris, Spes, 1960.
Rollet (Henri), La Condition de la femme dans l'Église : ces femmes qui ont fait l'Église, Paris, Fayard, 1975.
La presse d’éducation populaire, 1830-1939, Marly-le-Roi, Institut national d’éducation populaire, 1982.
Information sur le traitement :
1re partie :
Répertoire établi par Christine Andre et Élisabeth Salaün sous la direction de Bénédicte Grailles, conservatrice du Centre des archives du féminisme.
2e-7e parties :
L'introduction générale de cet inventaire ainsi que les répertoires numériques détaillés des fonds UFCS, Association des amis de l'UFCS et Groupement d'activité populaire (GAP) ont été rédigés par Agnès Wojciechowski, étudiante en Master 2 Histoire, géographie, document, option « Histoire et métiers des archives et des bibliothèques », parcours Archives, sous la direction de Bénédicte Grailles, maîtresse de conférences en archivistique et de France Chabod. La fin du classement a été effectuée durant l'été 2015 par Guillaume Diaz, sous la direction de France Chabod.
Evaluation et tris
:
1re partie :
Aucune élimination n’a été effectuée sur le fonds traité, seuls les doubles ont été renvoyés au siège social de l’UFCS à Paris.
2e-7e parties :
Les exemplaires multiples ont été éliminés. Ont également été retirés les documents qui se trouvaient déjà dans le premier dépôt de 2004 et qui étaient inventoriés ; ainsi, les répétitions de documents entre les différents inventaires du fonds sont évitées. Le métrage linéaire du pilon s’élève, en juillet 2012, à 7,75 ml.