Calames

Paris1 BRA RM MAUNY Raymond

Date : 1859-1991
Description physique : 94 boîtes. 9,40 mètres linéaires.

Organisme responsable
Humathèque Condorcet
10 cours des Humanités
93322 Aubervilliers Cedex
Téléphone : 33 (0)1 88 12 08 80
archives.humatheque@campus-condorcet.fr
Site web du Campus Condorcet

Description :
Ce fonds rassemble les documents relatifs à l'activité de Raymond Mauny, des années 1930 à sa mort en 1994. Ses archives ont été regroupées en grandes parties thématiques qui témoignent de son activité en tant qu’historien, archéologue, enseignant et chercheur spécialiste de l’ouest africain.
Les archives de Raymond Mauny, à l’image de nombreux fonds de chercheurs, sont constituées à la fois de documents de travail (articles, notes manuscrites, correspondance etc.) mais aussi d’une riche documentation accumulée tout au long de sa carrière. A cela s’ajoutent les archives relatives aux fonctions qu’il a exercées à l’Institut Français d’Afrique Noire et à la Sorbonne, et les archives à caractère biographique.
Les archives de Raymond Mauny contiennent :
•Des documents à caractère biographique : dossiers relatant son parcours universitaire, dossiers de carrière, diplômes et décorations, vie associative, …
•De la correspondance : majoritairement universitaire et scientifique, mais aussi personnelle
•Des archives concernant les missions archéologiques qu’il a effectuées tout au long de sa carrière. En particulier les cahiers de mission qu’il a tenu et enrichi au cours de ses explorations en Afrique. Au nombre de 17, couvrant une période allant de 1942 à 1962, ces cahiers de terrain sont une source fondamentale sur les recherches archéologiques en Afrique occidentale. Ils témoignent également de sa volonté de travail, de son application et de son engagement dans la recherche africaine. Ces cahiers ont tous été numérisés et sont consultables en ligne (Cahiers de terrain de Raymond Mauny).
•Un nombre important d’archives relatives à ses recherches et aux relations scientifiques qu’il a maintenues tout au long de sa vie : dossiers de chercheurs, dossiers thématiques sur l’Afrique, documentation scientifique, presse et autres documents iconographiques.
•Des papiers reflétant de son activité en tant que professeur à la Sorbonne (cours dans différentes universités, encadrement de travaux d’étudiants, participation à de nombreux colloques)
•Des dossiers sur toutes ses publications (de sa thèse principale Tableau géographique de l’ouest africain, aux articles publiés pour le Bulletin de l'I.F.A.N., et aux autres contributions à des ouvrages scientifiques)
•Et enfin, les archives du fonds contiennent également quelques objets, matériaux archéologiques, qui ont été collectés par Mauny lui-même ou qui lui ont été envoyés par d’autres chercheurs.
Classement :
Le fonds était pourvu d’un premier inventaire, établi par la Bibliothèque de recherches africaines, qui décrivait succinctement une partie du fonds. Sur les 37 cartons qui constituaient le fonds avant classement, 23 étaient cotés et décrits dans cet inventaire.
En 2016, il a été décidé de reprendre le classement et l’inventaire de l’intégralité du fonds pour pouvoir l’inclure dans la base de données Calames. Ce travail, qui a nécessité sept mois (juin 2016 à janvier 2017), s’est traduit par un récolement de l'ensemble des boîtes, une reprise intégrale des analyses selon les normes archivistiques, l’établissement d'un nouveau plan de classement et le catalogage et l'indexation du fonds dans Calames.
Le travail de classement a débuté par le récolement de l’ensemble du fonds, soit 37 cartons d’archives de tailles variées. Une partie des documents avait été rassemblée et triée dans l’inventaire selon un ordre thématique pour les cartons C1 à C23, tandis que le reste du fonds restait sans aucun classement. Chaque carton a été repris et a bénéficié d’une nouvelle analyse de son contenu, plus précise et répondant aux normes de description archivistique. Parallèlement à ce travail de description, un plan de classement a été établi. Il reprend des bases du premier inventaire établi et s’inspire d’inventaires existants de fonds de chercheurs tout en respectant les spécificités et les activités de la vie de son producteur.
La correspondance a été classée selon deux types de classement différents ; un chronologique et l’autre alphabétique. Le classement chronologique concerne uniquement la correspondance émise par Raymond Mauny au cours de son activité au Centre de Recherches Africaines (de 1971 à 1990). Il s’agit des duplicatas des courriers envoyés par Raymond Mauny, de ce fait des doublons peuvent être retrouvés dans d’autres dossiers du fonds.
Le reste de la correspondance était originellement organisé selon un classement alphabétique, soit d’après les correspondants de Raymond Mauny. Organisation qui a été conservée et révisée dans un souci de respecter l’ordre interne établi par Raymond Mauny dans sa correspondance.
Les archives relatives à ses publications ont été rassemblées par types de publication : thèses, ouvrages, ouvrages collectifs, articles de revues et tirés-à-part. Les nombreux tirés-à-part qui alimentent ce fonds ont été classés chronologiquement et regroupés par décennies. Pour les tirés-à-part reçus par Raymond Mauny, il y a un double classement, par auteurs, si ces derniers sont représentés par plus d'un tiré-à-part et par ordre chronologique pour ceux qui n'apparaissent qu'une seule fois.
Les photographies du fonds sont des reproductions demandées par Raymond Mauny et extraites des collections de la photothèque de l’I.F.A.N. Elles se trouvent majoritairement dans la partie Iconographie. Il est cependant fréquent d’en retrouver dans des dossiers spécifiques, elles n’y ont pas été extraites afin de respecter l’unité du dossier et sa compréhension. Les 245 photographies non identifiées du fonds ont quant à elles été regroupées par sujets.
Les fichiers (ou catalogues papiers) et les objets sont les seuls archives du fonds à bénéficier d’un conditionnement différent, du fait de leur format particulier. Ils ont donc une indexation différente dans Calames au niveau de l’information « unité de conditionnement », celle-ci étant renseignée de cette manière: Boîte(s) spé.
Lors du classement, les doublons ont été éliminés.
L'ensemble du fonds a été reconditionné en 94 boîtes (sans compter les boîtes spé.), pour un métrage linéaire total de 9,40 mètres et a fait l'objet d'une nouvelle cotation à l'article.
Producteur du fonds ou collectionneur : Mauny, Raymond (1912-1994)
Biographie ou Histoire :
Né le 12 janvier 1912 à Nogent-sur-Marne; décédé le 13 février 1994 à Chinon ; historien et archéologue français.
Raymond Mauny est issu d’une vieille famille chinonaise. Il vit ses premières années dans la campagne anglaise du Surrey, avant d’arriver avec ses parents à Chinon à l’âge de huit ans. Il y poursuit ses études au collège, avant d’arriver au Lycée de garçons de Poitiers où il passe son baccalauréat et y poursuit ses études à la Faculté de Droit.
1/ Formation et début de carrière à Dakar
Raymond Mauny mène des études de droit à l’Université de Poitiers. Il y obtient une licence et entame ses recherches de doctorat mais le service militaire va imposer une parenthèse dans ses études. 1934 et 1935 vont alors devenir des années clé dans sa vie, car elles marquent la naissance de sa vocation d’africaniste. Son service au sein du 2è Régiment de Zouaves le conduit en Afrique du Nord, plus précisément à Oran où il se passionne de l’Afrique.
Il obtient finalement son Diplôme d’Etudes Supérieures en droit avec sa thèse La question coloniale dans les rapports franco-italiens depuis 1918, soutenue en 1940.
Il arrive au Sénégal, à Dakar, le 13 décembre 1937. Il est successivement adjoint des services civils de l’A.O.F., puis administrateur des Colonies dès 1942.Il est mobilisé deux fois pendant la guerre, la première fois en 1940 dans la campagne de France et la seconde fois en Afrique du Nord de 1943 à 1945.
En 1947 il entre en contact avec Théodore Monod, directeur du jeune Institut Français d’Afrique Noire. Il est finalement détaché de l’administration cette même année et rejoint l’I.F.A.N. comme assistant deux ans plus tard.
2/ L’Institut Français d’Afrique Noire
A la suite de son intégration en 1949, il est chargé de la section « Archéologie et Préhistoire » qui a la responsabilité des recherches archéologiques sur tout le territoire de l’ancienne A.O.F. A la tête de cette section, les recherches archéologiques de l’Institut deviennent alors plus intensives et ses collections d’objets s’étoffent.
Il est chef de section d’un service fédéral et, de ce fait, chargé de faire appliquer la réglementation du Gouvernement Général et d’animer certaines de ses commissions. Il s’occupe notamment de la protection des sites et monuments historiques, et de ses prolongements en matière touristique.
Il restera à l’I.F.A.N.et à Dakar jusqu’en 1962 où après avoir obtenu la distinction d’officier dans son ordre du Mérite par le gouvernement du Sénégal, l’opportunité d’enseigner se manifeste avec la création de la nouvelle chaire d’histoire de l’Afrique médiévale à la Sorbonne.
3/ Archéologie
La période passée à l’I.F.A.N. va permettre à Raymond Mauny d’approfondir sa curiosité scientifique en travaillant sur le terrain. Il va alors mener des enquêtes, des prospections et des fouilles dans toute l'ancienne A.O.F. notamment dans les pays du Sahel. Entre 1948 et 1972, il participe à 16 missions sur le terrain qui l’emmènent au Sénégal, au Mali, en Mauritanie, en Côte d’Ivoire, etc. …
Dès 1950, il effectue des fouilles à Gao Saré (Mali), il s’intéresse aussi aux gisements néolithiques de Karkarichinkat dans le bas Tilemsy. De 1954 à 1955, ses fouilles se portent dans la région lacustre aux environs de Niafunke et Goudam.
Ses recherches au Sahara, en particulier sa participation aux deux missions de la firme automobile Berliet (Berliet-Ténéré du 12 novembre 1959 au 25 janvier 1960 et Berliet-Tchad du 9 novembre au 16 décembre 1960), ramènent une ample moisson scientifique, du Paléolithique ancien aux industries néolithiques les plus raffinées.
Au fil des missions archéologiques et de ses recherches personnelles, il rassemble ainsi la matière avec laquelle il va bâtir sa thèse d’histoire africaine : Tableau géographique de l'Ouest africain au Moyen Âge, dirigée par Charles-André Julien.
4/ Travaux et sujets de recherches
Raymond Mauny possédait une curiosité scientifique très vaste et ses centres d’intérêts étaient nombreux. Ses sujets de recherches principaux étaient : la question des navigations antiques, l’introduction des métaux et des premiers chemins transsahariens, la question des sources (orales et écrites, arabes et portugaises), la linguistique et l’archéologie.
Il publiera plus de 300 articles sur la Préhistoire et l’Histoire africaine, une centaine de plus sur l’Histoire de France.
Il écrit et publie trois thèses de doctorats (une en droit, deux en histoire), dont son œuvre majeure : Tableau géographique de l'Ouest africain au Moyen Âge d'après les sources écrites, la tradition et l'archéologie (1960). Aujourd’hui encore considéré comme une référence en histoire africaine médiévale, cet ouvrage est un inventaire de textes et de données archéologiques s’étendant sur huit siècles et touchant tous les aspects de la vie (économie, vie sociale, vie culturelle).
5/ Enseignement
Avec la création de la nouvelle chaire d’Histoire de l’Afrique précoloniale des origines à 1600 à la Sorbonne en 1962, Raymond Mauny débute sa carrière d’enseignant.
Professeur pendant quinze ans, il lui est remis par ses collègues et disciples, et la Société d’Histoire d’Outre-Mer, un ouvrage en deux tomes Mélanges Mauny : 2000 ans d'histoire africaine: le sol, la parole et l'écrit, témoignage de sa carrière et de son implication dans la recherche en histoire africaine.
6/ Le Centre de Recherches Africaines
Après l'éclatement de l'ancienne Sorbonne, il est parmi les créateurs du Centre de recherches africaines, en 1963. Cela faisait déjà plusieurs années qu’il dénonçait le manque d’un centre en recherches africaines en France métropolitaine :
« La France se doit maintenant de créer sur son propre territoire, à l’instar de ce qui se fait partout en Europe, un Institut d’Etudes tropicales ou africaines qui centralise les recherches et la documentation relatives à ce continent . »
(article R. Mauny, 1964, t. XXIV, n° 1-2, p. 271-273).
Au cours de l’été 1962, la création de trois maîtrises de conférences à la Sorbonne a permis de fonder un « Centre de Recherches africaines » formé de Georges Balandier (Sociologie), Hubert Deschamps (Histoire contemporaine) et Raymond Mauny (Histoire ancienne et médiévale). Les crédits délégués permettent de commencer une bibliothèque africaniste, qui regroupe alors plus de 800 volumes et 15 périodiques.
Sa croissance sera liée à une augmentation de crédits et au recrutement d’une secrétaire-bibliothécaire.

Raymond Mauny prend sa retraite en 1977 et se retire à Chinon.
Président de la Société des Amis du Vieux Chinon pendent dix ans, il continue toujours ses recherches et ses travaux archéologiques, mais se consacre dorénavant davantage à sa région chinonaise.
Il maintient cependant toujours une correspondance importante avec ses anciens collègues, des étudiants en histoire africaine et les chercheurs africanistes avec qui il a correspondu tout au long de sa carrière, et continue à écrire et publier sur l’Afrique.
Raymond Mauny s’éteint le 13 février 1994 à Chinon.
Modalités d'entrée dans la collection : Raymond Mauny fait don de ses archives au Centre de Recherches Africaines dans les années 1980. Des archives du fonds (1RM1C) montrent qu’une partie de sa collection d’ouvrages et de périodiques est arrivée au Centre en 1984. Une autre partie de ses archives a été donnée par sa fille en mai 2012 et ajoutée au fonds existant.
Conditions d'utilisation : Les photographies sans flash sont autorisées.Les photocopies sont interdites.
Citer sous la forme : Fonds Raymond Mauny. Humathèque Condorcet. Cote Paris1 BRA RM.
Documents en relation :
Archives du Museum d’Histoire naturelle :
- Fonds Théodore Monod : correspondance avec Raymond Mauny
- Fonds Henri Breuil : correspondance et publications de Raymond Mauny.
- Papiers scientifiques de Camille Arambourg : correspondance avec Raymond Mauny
Autre instrument de recherche : Inventaire également disponible sous forme de PDF
Bibliographie :
Ouvrages et articles sur l'Afrique : :
« Contribution à la préhistoire du Cap-Vert (Sénégal) », Dakar, Bulletin du Comité d'Études Historiques et Scientifiques de l'A.O.F., t. XXI, n° 4, 1938, p. 523-544, 1 carte, 2 pl. (en collaboration avec Pierre Laforgue).
« Contribution à la préhistoire de la région de Tichitt (Mauritanie) », Dakar, Bulletin de IFAN, 1939, p. 691-697 (en collaboration avec Pierre Laforgue).
« Les murs tatas de Dakar », Dakar, Notes Africaines, n° 17, janv. 1943, p. 1-3.
« Une page d'histoire locale (1444). La découverte du Cap-Vert », Notes Africaines, n° 21, janv. 1944, p. 2-3.
« Sources écrites relatives à l'histoire des Peuls et des Toucouleurs », Notes Africaines, n° 31, juill. 1946, p. 7-9 (en collaboration avec P. Bouché).
« Du nouveau sur les poteries minuscules du Cap Vert », Notes Africaines, n° 32, oct. 1946, p. 16-18. 1 fig.
La question coloniale dans les rapports franco-italiens depuis 1918, Thèse pour le Doctorat en Droit, Poitiers, Soc. Fr. d'Impr. et de Libr. 11940#f# 1947, 160
« Une église du XVe siècle à Gorée », Notes Africaines, n° 34, avr. 1947, p. 17-18.
« Récentes découvertes préhistoriques du Cap Vert (Sénégal) », Krenze, Rivista di Scienze Preistorkhe, Vol. 1, Fasc. LV, 1946, p. 317-319.
«L'Afrique occidentale d'après les auteurs arabes anciens (666-977)», Notes Afr., n° 40, oct. 1948, p. 6-7.
«Du nouveau sur les murs tatas de Dakar». Notes Afr., n°40, oct. 1948. p. 14-15. 1 fig.
« Boules de pierre», Notes Afr., n°40, oct. 1948, p. 34, 1 fig.
«Tables décennales des Notes Africaines», Notes Afr., n°40 bis, déc. 1948, 27 p. (en collab. avec Mme U. Richard-Molard).
«Pointe de flèche d'un type inusité trouvée près de Dakar., Paris, Bull. Soc. Préhist. Fe., 1948, p. 405.406.
«Le Bélier-dieu», Notes Afr., n°41, janv. 1949, p. 10-12,3 fig.
« Un plan de Corée à la fin du XVIle siècle», Notes Africaines., n°41, 1949, p. 18.19, 1 fig.
«Que faut-il appeler pierres d'aigris ?», Notes Africaines, n° 42. avr. 1949, p. 33-36.
«Une photographie aérienne de Tombouctou», Notes Africaines, n°42, avr. 1949, p. 36.
«Monnaies anciennes d'Afrique occidentale», Notes Africaines, n°42, avr. 1949, p. 60-61.
«L'origine du mot : canari», Notes Africaines, n°42, avr. 1949, p. 64-65.
«Eustache de la Fosse, Voyage dans l'Afrique Occidentale (1479-80)», Bissau, Bol. Cuit. da Guiné Port., n° 14, avr. 1949, p. 181-195
«Statuettes de terre cuite de Mopti», Notes Afr., n° 43, juill. 1949, p. 70- 72, 3 fig.
«Perles de cornaline, quartz et verre des tumuli du Bas Sénégal», Notes Africaines, n°43, juill. 1949, p. 72-74, 1 fig.
« Une forteresse portugaise du XVe siècle à l'embouchure du Sénégal», Notes Africaines, n• 43, juill. 1949, p. 98-99.
«La préhistoire (de l'Ouest Africain).», Paris, Encyclopédie Maritime et Coloniale, A.O.F., Vol. 1, 1949, p. 23-34, I carte, 5 fig.
«Les pierres perforées d'Afrique occidentale», Bruxelles, La Revue Coloniale Belge, 1949. n°92, p. 492.
«Note au sujet d'une mission de préhistoire dans l'Aouker», Notes Africaines, n°44, oct. 1949, p. 108-112, 8 fig.
«Objet de fer énigmatique de la région de Ségou», Notes Africaines, n• 44, oct. 1949, p. 112, 1 fig.
«Nouveaux chars rupestres sahariens», s.n., s.d., p. 112-114, 1 fig. (en collaboration avec Th. MONOD).
«Décoration des mains au henné», s.n., s.d., p. 116, I fig.
«Fabrication de perles de verre en Mauritanie», s.n., s.d., p. 116-118, I fig.
«L'expédition marocaine d'Ouadane (Mauritanie) vers 1543-1544.», Bulletin de l'IFAN, 1949, p. 129-140, I carte.
«Etat actuel de nos connaissances sur la préhistoire de la Colonie du Niger.», Bulletin de l'IFAN, 1949, p. 141-158. I carte, 5 fig.
«Le Judaïsme, les Juifs et l'Afrique Occidentale.», Bulletin de l'IFAN, 1949, p. 354-378, 1 carte.
«Les ruines du fort de M'Bidjem, Sénégal.», Bulletin de l'IFAN, 1946 #o#1950#f#, p. 133-157.4 fig.
«Une tortue sculptée néolithique de l'Aouker», Notes Africaines, n°45, janv. 1950, p. 2-3, 2 fig.
«Découverte d'un biface acheuléen à Dakar», Notes Africaines, n°45, p. 3. I fig
«Sur la préhistoire de la presqu'île du Cap-Vert», Saint-Louis, Etudes sénégalaises, n°1, 1949/50, p. 239-251.
«Une hache polie à bandes peintes du Soudan», Notes Africaines, n°46, avr. 1950, p. 33, 1 fig.
«Niches murales de la maison fouillée à Koumbi Saleh (Ghana)», Notes Africaines, n°46, p. 34-35, 1 fig.
«Un fort hollandais du XVIle siècle au Cap-Vert», Notes Africaines, n°46, p. 47
«Notes d'histoire sur Rufisque d'après quelques textes anciens», Notes Africaines, Ir 46, p. 47-49, 2 fig.
«Une route préhistorique à travers le Sahara occidental», Bulletin de l'IFAN, IX, 1947, p. 341-357, 1 carte, 4 fig.
«L'Ouest Africain chez Ptolémée (vers 141 J.-C.)», lIe Confercencia Intern. African. ocid., Bissau, 1947,p. 241-293.
«Un problème de géographie historique : les origines lointaines de la découverte du Cap-Vert», Lisboa : Ministério das Colonias, 1950, p.297-307, 1 carte
Information sur le traitement : Cette description a été rédigée par Mélanie Lembert, pour la Bibliothèque de Recherches Africaines.
Producteur du fonds ou collectionneur : Mauny, Raymond (1912-1994)
Mauny, Raymond (1912-1994)
Sujet : Institut français d'Afrique noire
Université Panthéon-Sorbonne (Paris)
Centre de recherches africaines (Paris)
Afrique Occidentale française
Archéologie préhistorique

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